Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

28/10/2012

Jake Djones gardien du temps - Mission Venise (D. DIBBEN)

« Le soir Jake Djones découvrit que ses parents s'étaient égarés quelque part dans l'Histoire souffla la tempête la plus violente jamais enregistrée dans les annales.»

Tandis qu'il rentre du collège en un jour londonien pluvieux, Jake Djones, quatorze ans, est enlevé par des ravisseurs peu communs. Ils prétendent agir pour sa propre sécurité et l'emmènent au quartier général de leur organisation, en Normandie au XIXe siècle ! Ils connaissent bien les parents de Jake, et veulent comme lui les retrouver. Mais ça ne va pas être facile : ces derniers sont perdus... quelque part dans le passé.

Sur le même principe que la série Time Riders, d’Alex SCARROW, Damian DIBBEN nous propose de voyager dans le temps afin d’empêcher que des individus mal intentionnés ne modifient l’Histoire, comme ici empêcher la Renaissance d’avoir lieu. Son jeune héros, Jake, collégien sans histoire, va se révéler un agent hors-pair et qui va s’intégrer immédiatement dans une équipe aussi dynamique que farfelue.

La trame est classique : l’adolescent qui découvre que ses parents ne sont pas ceux qu’ils croient être, la célébration des liens familiaux, les notions d’engagement et de fidélité, ce premier volume qui nous entraine dans la Venise du début du XVIème siècle et palpitant !

Ajoutez à cela des personnages secondaires savoureux, une intrigue menée tambour battant, de l’humour et quelques frissons, vous obtiendrez l’excellent cocktail que constitue ce Jake Djones gardien du temps.

– Si vous voulez être instruits, c'est au monde qu’il faut vous frotter. Il fourmille d’endroit bien plus passionnants et complexes que vous ne sauriez l’imaginer.

Jake contempla son interlocuteur. La phrase qu’il venait d’énoncer avait éveillé un écho en lui.

– Il n’y a pas que le collège, se défendit-il. Je ne crois pas que mes parents apprécieraient que je file en France avec des inconnus. Sans vouloir vous offenser, vous avez l’air… complètement fous, habillés ainsi, à parler comme autrefois.

Il s’efforçait de rester calme, mais ses mains tremblaient.

– Vos parents ? C’est pour eux que je vous prie de nous accompagner. Ils ont disparu, figurez-vous.

-  Quoi ?

– Ils vont sans doute très bien. Tous deux sont des battants et ils ont affronté nombre de péril au fil des ans. Il n’en reste pas moins que nous avons perdu le contact avec eux. Depuis trois jours. Et cela me préoccupe.

Jake avait la tête qui tournait.

- Pardonnez-moi, mais… Je ne comprends pas. Comment se fait-il que vous les connaissiez ?

Jupitus Cole le toisa sans chaleur avant de répondre :

– Nous travaillons pour la même organisation. Celle-ci, précisa-t-il en montrant la pièce d'un geste élégant.

Il y eut un silence, Jake s’exclaffa.

– Vous devez vous tromper. Mes parents vendent des salles de bain. Des lavabos, des bidets, des baignoires. En ce moment même, ils sont en train de rentrer d’un salon à Birmingham. Ce que, bien sûr, vous savez forcément, puisque vous prétendez les…

Damian DIBBEN, Jake Djones gardien du temps – Mission Venise

Gallimard Jeunesse

464 pages – 15,50 €

Paru en 2012

Feuilleter un extrait : http://www.edenlivres.fr/p/22266

L’auteur : Damian DIBBEN vit à Londres avec son chien Dudley. Comédien, scénariste génial, il a travaillé sur des projets aussi nombreux que divers, notamment Le Chat Potté. C’est un fervent explorateur que tout inspire, de l’archéologie à la cosmologie. Mais rien ne le réjouit plus qu’un bon récit d’aventures rocambolesques. Jake Djones gardien du temps – Mission Venise, son premier roman, est le premier tome d’une série.

10/08/2012

Nina Volkovitch - La Lignée (C. TREBOR)

« Je ne peux pas me calmer, alors je me serre contre maman. »

A quinze ans, Nina Volkovitch en paraît douze. Envoyée à l’orphelinat de Karakievo parce que ses parents sont considérés comme des « ennemis du peuple », elle a fait le serment de s’enfuir et de retrouver sa mère, emprisonnée dans un goulag de Sibérie. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que sa mère a pris soin de dissimuler de précieux indices pour l’aider à s’échapper, mais aussi pour lui révéler les dons particuliers qu’elle possède sans le savoir. Car Nina est la descendante des Volkovitch, une illustre famille qui détient des pouvoirs aussi prodigieux que terrifiants. Et c’est elle, Nina, qui représente le dernier espoir face à un ennemi plus puissant que la dictature soviétique…

Il y a d’abord l’objet-livre : une couverture traitée à la manière d’une icône russe et une tranche dorée qui renforce cette impression. L’énigmatique jeune fille qui fixe le lecteur, une poupée au foulard de babouska dans les bras. Et puis une histoire qui d’emblée sait distiller ce qu’il faut de mystère et d’interrogation pour entrainer le lecteur à sa suite.

La jeune Nina, narratrice de l’histoire, entretient une relation quasi fusionnelle avec sa mère – son père ayant disparu sans laisser de traces – et l’arrestation de cette dernière est un déchirement. C’est cependant à l’orphelinat où elle a été menée que Nina va en apprendre plus sur elle, sa famille et ses dons. Les rencontres qu’elle va faire vont l’enrichir un peu plus à chaque fois, même si elles vont aussi lui dessiller les yeux et lui faire saigner un peu plus le cœur.

D’une histoire a priori réaliste et historique – le glossaire de la fin est là pour compléter les notions sur la civilisation et l’histoire russe et soviétique – on va pourtant basculer peu à peu vers un fantastique bien amené. Carole TREBOR a su jouer sur les différents niveaux : la dénonciation d’un système politique, la force de la religion, l’amour de l’art, pour construire une histoire palpitante et dont on attend avec impatience les deux prochains épisodes…

Il est cinq heures du matin, le jour se lève, j’ai vu la lumière verte à travers les fenêtres du réfectoire. Je me glisse sous ma couverture qui pique. Je suis engourdie de sommeil mais j’ai la tête trop remplie pour m’endormir. Mon cerveau est en ébullition. Une boussole, un couteau. Une dissection. La petite fille, et sa poupée. La petite fille, c’est moi. Et ma poupée. Je n’ai pas de couteau ni de boussole. Une dissection. Qui dissèque ? Le collectionneur d’œuvres ! L’équivalent de maman. Ou de mon père ! Puisque lui aussi était conservateur au musée d’art russe ancien, là où se trouvaient toutes les icônes, les peintures religieuses et les objets de culte (bibles, coupes…) réquisitionnés par l’Etat peu de temps après la révolution. « Les icônes sont désormais propriété nationale. » Dans les années vingt, mon père a parcouru le pays pour éviter les pillages, les destructions, et récupéré un maximum d’objets religieux pour les collections nationales.  Qu’a-t-il disséqué ?

Carole TREBOR, Nina Volkovitch – La Lignée

Gulf Stream

220 pages – 14,90 €

Paru en 2012

Feuilleter un extrait : http://www.gulfstream.fr/livre-198-nina-volkovitch.html

L’auteur : Carole TREBOR est auteur (livres, scénarios, pièces de théâtre), journaliste-reporter d’image et réalisatrice (Arte.tv, INA.fr, YouHumour.com, France 5...) elle a notamment réalisé la série Les Tabous de l'histoire pour la chaîne Arte (2008). « Quand je me suis lancée dans la réalisation, mon premier travail d'auteur consistait à décrypter les émissions de télévision du site de l'INA pour éduquer le regard des professeurs, susceptibles d'utiliser les archives audiovisuelles de l'INA dans leurs cours. Cet abécédaire sur la télévision m'offre aujourd'hui la chance de porter un nouveau regard, enrichi par mes expériences audiovisuelles, sur ce sujet passionnant qu'est la télévision ! »

Site de l’auteur : http://www.caroletrebor.com

01/07/2012

Time Riders - Le Jour du prédateur (A. SCARROW)

« Ils entendirent le grondement déferler dans la cage d’escalier comme une locomotive. »

Après avoir réussi leur première mission et sauvé le monde, les Time Riders doivent désormais se débrouiller seuls : Foster, leur recruteur-mentor, les a laissé voler de leurs propres ailes. Ils sont désormais autonomes, puisque n’ont même aucune idée quant à l’existence d’autres agences comme la leur. Pour leur nouvelle mission, il s’agit cette fois, d’empêcher l’assassinat, à quinze ans, d’Edward Chan, le futur inventeur du voyage dans le temps. Mais pour cette première mission en solo, Maddy va commettre une erreur et bloquer Liam soixante-cinq millions d’années en arrière, à l’époque des dinosaures…

Le premier Time Riders était passionnant, ce deuxième volume est tout bonnement extraordinaire ! Alex SCARROW joue avec maestria de la confusion temporelle, alternant les épisodes de l’époque préhistorique avec la « bulle temporelle » où sont bloquées les deux filles, les dix et onze septembre 2001. Une fois de plus Liam doit faire preuve d’ingéniosité pour envoyer un message mais il est cette fois confronté à des créatures absolument terrifiantes, une espèce de chaînon manquant entre l’homme et l’animal, dotée une capacité cérébrale à la hauteur des nôtres et qui nous laisse terrifiés quant à ce qui aurait pu se passer si elles…

Car c’est toute la force de ce deuxième tome : on y croit vraiment et la science-fiction laisse place au doute du « et si… ». Les deux personnages féminins passent davantage en arrière-plan, au profit de Liam, héros chevaleresque malgré lui, et notamment de sa révélation finale. Quant à l’auxiliaire, c’est cette fois une « Bobette », puisque Sal s’est emmêlée dans les éprouvettes entre XX et XY, mais elle est aussi performante que le premier… et bien plus séduisante !

Si le premier roman de la série avait su d’emblée mettre en place des situations et des personnages convaincants, ce deuxième tome est largement à la hauteur, creusant les situations et apportant du vertigineux à la situation. Vivement le troisième !

Il prit une grande inspiration.

- Il faut que tu comprennes qu’on n’a pas le choix. Ça m’étonnerait que Sal et Maddy se mettent à chercher des fossiles dans tout le Texas. C’est forcément quelqu’un d’autre qui les trouvera. Et la seule façon de l’acheminer vers elles, c’est de donner ces renseignements.

- Vous savez, intervint M. Kelly, ce genre d’information est d’une puissance redoutable – je parle de la révélation de l’existence des voyages dans le temps et du fait que des humains se soient trouvés à l’époque des dinosaures. C’est une information qui peut changer la face du monde, Liam. Vous comprenez ça, n’est-ce pas ? Vous nous avez parlé de contamination et d’ondes temporelles, et du reste. Est-ce que ça ne va pas… ?

- Bien sûr, coupa Liam. C’est justement pour lutter contre ce genre de cauchemar qu’on a été recruter : la contamination  historique.

- Et pourtant, c’est ce que vous allez provoquez.

- Je sais bien, mais on n’a pas le choix.

Il regarda Edward Chan, calmement assis entre Leonard et Juan.

- Le film de l’Histoire a déjà été bien endommagé. Qui sait dans quel état se trouve le futur à l’heure qu’il est ? Et, c’est vrai, en gravant délibérément un message dans le sol, on risque vraiment d’aggraver les choses. Mais – et j’ai mis longtemps à m’en rendre compte – le temps, c’est comme, je ne sais pas, moi, un liquide. C’est fluide. Ce qu’on peut changer peut l’être tout de suite, à condition qu’on sache où aller et quoi faire, et bien sûr à condition d’avoir une machine à remonter le temps.

Alex SCARROW, Time Riders – Le Jour du prédateur.

Nathan

445 pages – 15,50€

Titre original : Time Riders : Day of the Predator  – Paru en 2010 – Traduit en Français en 2012

Découvrir un extrait : http://www.nathan.fr/feuilletage/?isbn=9782092536872

L’auteur : Alex SCARROW a été guitariste de rock. Puis graphiste. Puis concepteur de jeux vidéo. Puis auteur. Il a ainsi écrit plusieurs thrillers pour adultes et des scénarios. Time Riders est sa première série de romans pour jeunes adultes. Pour son plus grand plaisir, il y explore les idées et concepts avec lesquels il travaillait déjà dans l’univers des jeux ;

Il vit à Norwich, en Angleterre, avec son fils Jacob, sa femme Frances, un chien très méchant et un énorme rat.

Site de l’auteur : http://www.scarrow.co.uk

21/03/2012

Instinct 3 (V. VILLEMINOT)

« Tim sut précisément à quel moment ils entrèrent clandestinement sur le territoire des Etats-Unis. »

Cinq mois après le tragique dénouement de Lausanne, les enfants de McIntyre se sont réfugiés dans la maison de Tim à Missoula, Etats-Unis. Ils sont recherchés par la police et tentent de retrouver la paix dans la clandestinité pendant qu’en Europe, des morts étranges se produisent dans les Alpes. Dépressif depuis la mort de son père adoptif, Shariff va les entraîner à nouveau en enfer…

Troisième et dernier opus de la trilogie, Instinct 3 renoue avec ce qui a fait le succès du premier (et que le deuxième avait un peu perdu) : suspense implacable, violence bestiale et réflexion sur nature et culture. Ce sont désormais deux conceptions  qui s’opposent : ceux qui laissent libre cours à leur instinct de sauvagerie et ceux qui tentent de le museler. Plus question d’expériences, les fauves sont lâchés. Et cela saigne. Beaucoup.

Le couple formé par Flora et Tim se précise et s’installe, il mûrit, ayant désormais un rôle de presque adultes et donc de parents face à Shariff, l’adolescent éternel. C’est donc sur eux qu’il reportera ses souffrances et sa rébellion, les amenant une fois de plus à agir contre leur nature. Pour le reste, Flora est toujours la catwoman-hacker de génie, Tim celui qui cherche à en savoir plus sur les circonstances de la mort de ses parents  et de son frère et Shariff mettra beaucoup de temps avant de revenir le brillant samouraï qu’il a été.

Ce troisième volume approfondit le personnage de Tim, celui par qui tout avait commencé, en l’emmenant à la recherche de lui même dans les tentes de sudation d’Amérique du Nord, et il est à noter que l’auteur propose deux fins : la première, refusée par l’éditeur, est consultable sur Facebook, et elle offre une perspective tout à faite différente du roman, le rendant plus puissant encore. On quitte finalement cette trilogie avec une impression de mains qui se croisent enfin, apaisées, et presque à s’ouvrir sur autre chose…

Il s’était perdu, parce qu’il n’était rien sans eux. Les livres.

Les livres étaient sa famille, son autre famille, plus ancienne, plus précise, plus patiente et exigeante encore que Ronald McIntyre, bien davantage que Flora et Tim, quoiqu’il pût aimer quelqu’un plus que Flora et Tim. La Bibliothèque était son milieu, son biotope, dont il avait besoin et le nourrissait, l’oxygénait, étanchait sa soif, l’abritait, de même qu’il avait besoin d’un aquarium d’eau salée l’autre moitié de son temps. Il avait quitté cette bibliothèque le jour du conseil élargi lorsque le samouraï, armé de son pistolet automatique, avait retourné la situation à lui tout seul. Depuis, Paul avait consommé sa trahison, Matthew était mort, son père était mort, Kate était morte, la Bibliothèque de l’Institut avait brûlé, avec, dérisoires,  fichées dans son plafond calciné, effondré, quelque part parmi les poutres enchevêtrées, trois balles qui avaient sans doute fondu et dont le métal témoignait qu’un gamin avait tenu tête, le dernier, aux prédateurs.

Vincent VILLEMINOT, Instinct 3.

Blast - Nathan

350 pages – 15,50€

Paru en 2012

Feuilleter un extrait : http://www.nathan.fr/feuilletage/?isbn=9782092528372

rappel : Instinct 1 et Instinct 2

Page Facebook du roman : http://fr-fr.facebook.com/pages/Instinct-par-Vincent-Vill...

Interview de l’auteur : http://blog.nathan/jeunesse

L’auteur : Vincent VILLEMINOT a une quarantaine d’années et vit dans les Alpes françaises où il a d’ailleurs situé l’action de son roman. Ancien professeur d’écriture au Caire et ancien journaliste, il est désormais écrivain à plein temps.

18/01/2012

A comme Association (E. L'HOMME, P. BOTTERO)

« Je m’appelle Jasper. »

Jasper vit à Paris, va au lycée et joue de la cornemuse dans un groupe de rock médiéval. Ombe arrive du Québec, est lycéenne à Paris et adore la moto. Depuis peu, ils fréquentent aussi le 13, rue du Horla, l'adresse ultra secrète de L'Association. L'organisation a repéré chez Jasper certaines aptitudes pour la magie et chez Ombe son incroyable pouvoir : être incassable ou presque. L'Association leur a proposés de devenir agents stagiaires. Trafic de drogue chez les vampires pour lui, explosion d’une bande de gobelins devant tous ses camarades de classe pour elle, le travail ne manque pas. Le problème? La discrétion est une obligation absolue au sein de L'Association…

Menée tambour battant, cette série offre la particularité d’être écrite à quatre mains, Erik L’HOMME prenant en charge Jasper, Pierre BOTTERO Ombe. Les deux premiers tomes nous font découvrir ces deux adolescents pas comme les autres, aux prises avec un monde parallèle qui les dépasse souvent et les amène à des réactions… typiquement adolescentes !

L’écriture est efficace, les péripéties abondent, cette série plaira à bon nombre de lecteurs à partir du collège, même si on peut regretter quelques facilités.

- Bref, l’Association contribue à l’harmonie entre communautés. Par la force s’il le faut. Grâce à nos Agents, parfaitement formés, nous parvenons à maintenir l’équilibre. Nous gérons l’Anormal, turbulent par nature, avec le Paranormal !

J’ai alors posé la question qui me brûlait les lèvres.

- Si vous me dites ça, c’est que vous pensez que… que j’ai des pouvoirs ?

- L’Association a des recruteurs qui sillonnent lieux et manifestations où les talents, je préfère ce terme, sont plus facilement détectables : stades, rencontres sportives, églises, communautés mystiques, tournois et autres cercles de jeux.

- Le maître de plateau, l’autre jour, il travaille pour l’Association ?

- Oui. Il a senti l’énergie que tu dégageais en manipulant ta figurine de sorcier. Il a compris qu’en t’identifiant à ce personnage tu révélais une part cachée de toi-même.

Erik L’HOMME, La Pâle Lumière des ténèbres.

Gallimard Jeunesse – Grand Format Littérature

160 pages – 9,90€

Pierre BOTTERO, Les Limites obscures de la magie.

Gallimard Jeunesse – Grand Format Littérature

160 pages

192 pages – 9,90€

Parus en 2010

Le site : http://www.acommeassociation-leslivres.fr

Les auteurs : Pierre BOTTERO est né en 1964. Il habite en Provence avec sa femme et ses deux filles et, pendant longtemps, il a exercé le métier d'instituteur. Grand amateur de littérature fantastique, convaincu du pouvoir de l'Imagination et des Mots, il a toujours rêvé d'univers différents, de dragons et de magie.

Pierre nous a quittés un soir de novembre 2009. Il nous laisse les clés de ses portes et de ses mondes.

Erik L'HOMME passe son enfance à Dieulefit, dont la branche maternelle de sa famille est originaire. Ayant peu d'amour pour l'école (sauf pour les matières littéraires), il se délecte surtout de ses activités parascolaires (piano, rugby) au rang desquelles de grandes promenades dans la nature en compagnie de son père et de ses frères.

En 2009 ses livres jeunesse publiés sont au nombre de dix : la trilogie Le Livre des étoiles, celle des Maîtres des brisants (un space opera dont le troisième opus, Seigneurs de guerre, vient de sortir), l'album des Contes d'un royaume perdu (illustré par François Place) et Phænomen, thriller fantastique en trois tomes également qui commence à avoir du succès à l'étranger.